Les notions du programme sont traitées de façon problématisée. Elles sont présentées sous la forme d'une question précise Exemple : la notion Logique et mathématiques sera traitée en répondant à la question : Les mathématiques sont-elles une connaissance ? Pourquoi ? Le cours ne doit en effet pas être un catalogue de concepts mais une véritable réflexion conceptuelle. Ce cours n'aborde donc qu'un des problèmes philosophiques auxquels renvoie la notion. De cette manière la réflexion peut être plus précise.
Pour réfléchir à cette question, on peut partir de la célèbre tripartition aristotélicienne des différents genres d'activités ou connaissances humaines
Voir le cours L'ArtNous serons menés ici à voir que la conception cartésienne de la conscience comme pure intériorité, comme "citadelle intérieure", est de nouveau à dépasser.
Voir le cours AutruiPour définir le bonheur, nous pouvons partir de la définition qu’en donne Aristote dans Ethique à Nicomaque, I, 5 (cf. cours Etat) : le bonheur est le Souverain Bien...
Voir le coursI- Aristote : le bonheur relève du et de la politique. II- Dire que le bonheur est affaire de politique, n'est-ce pas confondre liberté et bonheur?
Voir le coursMais que se cache-t-il donc derrière notre besoin de nous divertir ? En quoi cela est-il éclairant quant à la condition (misérable) de l'homme ?
Voir le coursI Le divertissement pascalien : le bonheur est impossible à l'homme
II L'ataraxie épicurienne : le bonheur est possible à l'homme
Voir le coursCe cours réunit différents cours sur la conscience, il a donc subi de nombreux remaniements, et surtout, de nombreux ajouts... et il est donc très long. Vous pouvez donc vous contenter de lire la partie I et la partie IIB seulement, surtout si vous n'êtes pas en terminale L. Je précise enfin que la problématique que j'ai choisie ici vous permet de traiter les sujets ayant trait à la connaissance de soi essentiellement. Pour une étude plus générale de la conscience, lire le cours : La conscience, le propre de l'homme ?
Voir le coursLa notion de conscience est en général utilisée pour qualifier les hommes, à la différence des autres êtres vivants, et même des animaux. La conscience serait donc un attribut spécifiquement humain, qui ...
Voir le coursLa croyance, communément, est assimilée à une attitude " irrationnelle ", i.e., contraire à la raison. Exemples : " je crois aux soucoupes volantes " ; " je crois qu’il existe des filtres magiques pour séduire les femmes "...
Voir le coursDémocratie : gouvernement du peuple par le peuple (démos = peuple /kratos = pouvoir)
NB : il ne faut pas confondre République et Démocratie : ces deux concepts ne sont pas à mettre sur le même plan :...
Voir le coursI- Peut-on fonder le Droit Naturel sur le Droit Positif?
II - Comment echapper à ce relativisme ? Comment juger, critiquer, le Droit Positif ?
Voir le coursJe discute ici de la question de savoir si l’espace est quelque chose de donné en soi, s’il s’impose à nous, ou bien s’il n’est pas quelque chose de culturel, de qualitatif, et de vécu. Affirmer cela, comme le fait Hall dans La dimension cachée, c’est nécessairement dépasser la conception habituelle que nous avons de l’espace, à savoir, la conception galiléo-newtonienne. Celle-ci, loin d’être la nature de l’espace, n’est qu’une certaine conception, culturellement et donc historiquement située, de l’espace –la nôtre.
Voir le coursI- La cité existe par nature :Aristote, Politique, Livre I, chapitre 2
II- Le contrat social : le fondement de l'Etat ce n'est pas la nature mais la volonté
Voir le coursIl s'agit de se demander ce que vaut la représentation populaire mais aussi philosophique, de l'homme comme composé d'un corps et d'un esprit; je précise que je fais ici comme si corps et matière étaient la même chose, ce qui ne va pas de soi ! Pour interroger la notion de matière, cf. cours esprit et matière et cours perception
Voir le coursA la question de savoir d'où viennent les choses, le monde, les humains, la vie, la religion a répondu : Dieu. La science physique essaie d'en donner des réponses toujours pas accordées entre elles (cf. le Big Bang, la sélection naturelle...). Le fond du problème renvoie à la question de savoir si l'existence est nécessaire ou contingente. Voici quelques fiches de lecture pour réfléchir à ce vaste sujet !
Voir le coursI- Hegel, La raison dans l'histoire : l'histoire au sens 1) a un sens. C'est le philosophe qui retranscrit ce sens à travers l'histoire philosophique.
II- N'est-ce pas pour nous que l'histoire a un sens ?
Voir le coursQu’est-ce que l’idéalisme (en philosophie) ? Rien à voir avec l’acception commune de ce terme, selon laquelle est idéaliste quelqu’un qui prend ses rêves pour la réalité, ou qui vit d’idéaux irréalisables. C’est une théorie philosophique qui cherche à rendre compte des relations entre l’esprit et le monde...
Voir le coursThe Eternal Sunshine of the Spotless Mind éclairé par Locke...
Voir le coursLa notion d'Identité Personnelle chez Locke
Voir le coursComment se connaître soi-même ? les tests de personnalité sont très à la mode, sont utilisés pour recruter : que valent-ils ? à la fois en tant que méthode scientifique et/ ou objective d'accès à soi-même, mais aussi en tant que doctrine métaphysique
Voir le coursNous avons vu, dans le cours sur la conscience, que le caractère privilégié de la conscience ne peut pas être retenu : 1) elle ne nous donne pas un accès immédiat à nous-mêmes; 2) elle n’est pas une entité substantielle. C’est l’inconscient qui aujourd’hui a pris la place de la conscience, ayant pour conséquence...
Voir le coursI- Le risque de référer la justice à la justice naturelle : Kant, et Hobbes (objectivité versus subjectivité).
II- Ainsi (suite à l'exemple du tribunal de Nuremberg), si la justice légale ne doit pas être fondée sur la justice comme sentiment, n'appelle-t-elle pas un autre fondement que la stricte légalité? (Aristote)
Voir le coursLa thèse soutenue sera le caractère social du langage. Il nous montre que nous ne sommes pas seuls au monde (rappel : groupement IV : "le monde de l'intersubjectivité"). Mais qu'est-ce que le langage?
Voir le coursNous avons soutenu, dans notre cours sur le langage, que le langage est un fait social et culturel; en conséquence, il devrait être spécifiquement humain. Or, c'est un fait évident que les animaux communiquent entre eux. Peut-être après tout parlent-ils, mais peut-être n'est-ce qu'en élargissant la notion de langage. Il nous faut donc chercher en quel sens on peut dire que les animaux ont un langage. Est-ce un langage dans le sens de ce mot qui convient à l'homme?
Voir le coursI - Le Déterminisme contre la Liberté
II - Critique du Libre-arbitre
III - Le Libre-arbitre n'estpas une véritable Liberté - Descartes, Lettres à Mesland
IV - Le Déterminisme gouverne-t-il le monde ?
Voir le coursI- particularité des vérités logiques et mathématiques
II- le statut ontologique des mathematiques
Annexe : faut-il interpréter la thèse de Galilée ontologiquement ?
Voir le coursDans ce cours, je reprends une question classique et ses deux grandes explications, afin d'apporter aux élèves des arguments classiques. Puis, en parlant de la Shoah (génocide juif, qui préfigure la notion de crime contre l'humanité), figure contemporaine du mal, à travers la thèse d'H. Arendt (Eichmann à Jérusalem, rapport sur la banalisation du mal), j'essaie de montrer l'actualité mais aussi l'aspect moral et en somme "urgent " de la question (i.e. : l'urgence de se positionner clairement en faveur d'une réponse à cette question, car elle est de grand enjeu pour l'humanité).
Voir le coursI- le passé ne sert-il pas à rien, et la mémoire, qui nous fait nous interesser au passé, ne serait-elle pas le signe d'une maladie de l'humanité ?
II- Des bons usages de l'histoire
III- ce qui fait que le passé est digne de nous intéresser c'est que sans rappel du passé, nous ne serions pas des personnes
Voir le coursLa morale par provision est l'exposition de quelques règles d'action que Descartes se donne, dans la troisième partie du Discours de la méthode, comme valables dans le champ de l'action, en attendant de trouver la certitude / connaissance des principes moraux. On ne peut arrêter d'agir et mieux vaut donc agir tout en étant dans l'incertitude, que de ne pas agir du tout.
Voir le coursIl s'agit ici de faire un petit exposé sur la morale kantienne. On en profite pour parler du projet moral en général, et pour comparer la morale kantienne avec la morale antique. Cette comparaison permet de mieux comprendre en quoi la morale kantienne ne va pas de soi, et donc, de trouver des arguments pour critiquer (au sens d'analyser) cette dernière.
Voir le coursApproche socio-historique : la mort aujourd’hui, un nouveau tabou ? (P. Ariès)
Point conceptuel : distinction vivre et exister
Voir le courscours sur : la philosophie, la technique; la nature ; nature et culture
Voir le coursI- La condamnation des passions au nom de la raison
II- Vers la naturalisation / réhabilitation des Passions...
III- HUME, Traité de la Nature Humaine : La Passion et la Raison sont deux domaines indépendants
Voir le coursDans cette fameuse expérience de pensée, Descartes nous montre que percevoir n'est pas sentir, et que l'essence des corps ne réside pas dans leurs apparences sensibles, mais dans la matière ou dans l'étendue. La connaissance de ce que sont les corps ne vient pas du corps, des sensations, mais de l'esprit. les sens nous informent seulement de l'existence de l'objet.
Voir le cours« description » du vécu de la perception : perception comme présence de quelque chose, comme renvoi à autre chose que soi ; immédiatement réaliste (il existe quelque chose…) et empiriste (la matière c’est ce que je perçois immédiatement, c’est la chose sensible)
Voir le coursI- La Naissance de la Philosophie dans la Grèce antique : le dialogue socratique
II- La période héllenistique : la philosophie comme art de vivre
III- La métaphysique
Voir le coursLocke cherche à ne pas tomber dans les pièges du hobbisme, qui nie l'éthique naturelle; il estime que dans cette optique, le respect des contrats est impossible à fonder. Pour Locke, ce qui est bon n'est pas réductible à ce qui...
Voir le coursDu géocentrisme à l’héliocentrisme
Voir le coursEst-ce que Galilée a trouvé sa loi de la chute des corps (lois du mouvement) en manipulant des boules et des plans inclinés ? Ou bien l’expérience n’a-t-elle été dans cette « découverte » que secondaire ?
Voir le coursI- La réponse théiste : on peut justifier la croyance en l'existence de Dieu par la raison.
II- Objections au "théisme"
Voir le coursil s'agit ici de savoir si la religion n'est que "ruine de l'homme". Rend-elle les hommes mauvais, ou bien meilleurs ? Est-elle négative ou positive pour l'humanité ?"
Voir le coursNous abordons ici les problèmes posés par la théorie de la sélection naturelle de Darwin. Il s'agit essentiellement de se demander à quelles conditions une théorie est scientifique, et plus précisément, si une science du vivant est possible. La théorie de la sélection naturelle fait-elle ou non usage du principe de finalité ?
Voir le coursI- La réalité du temps : Newton.
II-La subjectivité du temps.
III-Kant : le temps est certes subjectif mais cette subjectivité ne signifie pas qu’il n’est pas objectif : ça va être au contraire ce qui fait qu’il est objectif.
Voir le coursI- La conception naïve de la théorie scientifique
II- Les théories ne precedent-elles pas l’expérience ?
III- La sous-détermination des théories par l’expérience : le holisme scientifique
Voir le coursI-Le travail ne serait-il pas activité humaine par excellence ?
II- Et si c’était une mystification ?
III- Réhabilitation du loisir : Aristote, Ethique à Nicomaque,Livre X : le loisir philosophique.
Voir le cours(notions du programme de terminale abordées : métaphysique ; théorie et expérience ; raison)
Voir le coursOn emploie communément l’expression suivant laquelle " les apparences sont trompeuses " -qui signifie que le réel n’est pas ce qui apparaît, que l’être est au-delà des apparences. Or, il revient à Platon d’avoir formulé le premier de façon " savante " cette distinction. Pour Platon, en effet, il convient d...
Voir le coursNous nous demanderons ici si le vivant est un objet comme les autres. C'est une question d'abord ontologique, puisqu'il s'agit de savoir quel genre d'objet est l'être vivant. Mais la question est également éthique puisqu'il s'agit de savoir ce que nous avons le droit de faire ou de ne pas faire dans le domaine du vivant. Savoir précisément de quoi on parle quand on parle d'être vivant , permettra de répondre à cette question éthique.
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