Le livre I de la Politique d'Aristote, auteur de l'Antiquité, est intéressante pour méditer sur la nécessité ou non de vivre de manière politique. La politique, aujourd'hui, est confondue avec l'art de gouverner, art de manipulation et quête sans fin du pouvoir. Or, la politique, n'est-ce pas tout simplement l'art de vivre ensemble ? Et, plus qu'un art, n'est-ce pas notre nature même qui est politique ? Serait-on par conséquent encore des hommes dignes de ce nom sans politique ?
Voir le coursLe système leibnizien apparaît comme une description générale de tous les mondes possibles en fonction de la volonté et de la sagesse divines. C’est donc essentiellement un discours sur Dieu et la création.
Voir le coursce cours était à l'origine, une introduction au cours sur la conscience (où il s'agissait essentiellement de se demander si la conscience est une entité réelle ou une fonction et si elle est une source de vérité). Il me permettait d'insérer dans un cours l'étude d'une œuvre. Étant donné la longueur des Méditations, j'avais choisi de n'étudier que les deux premières. J'ai quelque peu remanié ce cours, afin de l'extraire du cours sur la conscience. Vous trouverez ainsi pour l'essentiel, les mêmes choses que dans la première partie du cours sur la conscience.
Voir le coursNous nous pencherons ici sur la question des rapports entre politique et morale, et sur la signification du réalisme machiavélien en politique. L'oeuvre ne sera pas étudiée en entier, nous avons sélectionné quelques chapitres :7, 15, 18
Voir le coursPascal, un auteur multiple, un esprit universel
Les méthodes : les 8 arguments utilisés par Pascal dans ses écrits
Note : les références aux Pensées renvoient à l'édition Brunschwig
Voir le coursCes trois fragments sont regroupés par Brunschwig dans la section V, intitulée : la justice et la raison des effets. Ce qui est ici topique pour l’intellection du texte, c’est la relation entre la rhétorique du texte et la doctrine. Nous allons voir que la précarité, pauvreté de la justice face à la force est exprimée par le caractère...
Voir le coursLes rapports de la philosophie et de la religion
Voir le cours« Aux uns, il convient par nature de goûter la philosophie et de commander dans la cité, aux autres de ne pas y toucher et de se soumettre à celui qui commande » (République, IV).
Cette thèse selon laquelle il y aurait des natures faites pour commander est sans doute aujourd’hui la thèse de Platon la plus décriée, parce que nous sommes spontanément démocrates. Peut-elle être défendable ? Et surtout, à quoi peut-elle encore nous serviraujourd'hui ?
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